Valérie
— Tu n’imagines pas que ces boutiques sont nôtres afin que nous fassions nos emplettes ! Nous n’allons pas nous empêcher de posséder ce qu’ils mettent à notre disposition !
Myriam
— Tes bras sont faits pour me câliner non pas pour me chicaner. J’ai vu une parure de lit de toute beauté que tu pourrais nous offrir. Mes bisous où tu sais ne te le feront pas regretter.
Abby
— Ce beau temps me donne une fringale d’acheter en bouquet toutes les fleurs serpentines qu’on trouve dans les sous-bois. Tu devrais te joindre à moi, c’est l’époque des soldes sur les baskets roses à hauts talons dont tu raffoles !
Léa
— Je ne t’ai pas attendue pour remplir mon panier en nouveautés puisque je n’avais plus du tout de fringues au goût du jour. Viens avec la voiture, j’ai déniché un joli vaisselier qui plaira à ta mère et qui rentrera dans ton coffre.
Léa
— Je ne t’ai pas attendue pour remplir mon panier en nouveautés puisque je n’avais plus du tout de fringues au goût du jour. Viens avec la voiture, j’ai déniché un joli vaisselier qui plaira à ta mère et qui rentrera dans ton coffre.
Chris
— C’est bien beau de faire les boutiques de luxe, de dépenser sans ne rien gagner, mais tu devras prendre un taxi pour transporter tous tes paquets, à moins que tu ne demandes à ton amant de te ramener chez ton mari.
Annick
— La femme de ménage m’a proposé de faire les soldes à ma place. On aura tout vu ! Je n’allais pas priver les beaux vendeurs qui sont avides de me revoir !
Brigitte
— J’ai envie de m’offrir une nouvelle robe pour inaugurer cette boutique à la mode dont l’opération portes ouvertes a remporté un franc succès auprès des collaboratrices de mon mari. Ne préviens pas le tien, il me fait du gringue.Myriam
— Tes bras sont faits pour me câliner non pas pour me chicaner. J’ai vu une parure de lit de toute beauté que tu pourrais nous offrir. Mes bisous où tu sais ne te le feront pas regretter.
Raphaëlle
— Tu sais chéri, je n’ai pas le choix, mises à part toutes les boutiques de luxe. Nous n’allons pas quitter Paris sous le prétexte que tu me verrais mieux fréquenter les friperies de province.
Lisa
— Si j’étais toi, je porterais un combiné qui remplit la double fonction du soutien-gorge et de la gaine. Ne le prends pas mal, mais ta vieille couturière te fagote n’importe comment. Le tricot n’est plus en vogue, autant que le chignon !
Caroline
— Je peux te réaliser un pantalon à franges à partir d’un patron du genre de ceux qu’on trouve dans les magazines, mais il te reviendrait moins cher de l’acheter car mes services ont un coût.
Katy
— Chéri, j’ai assez de fans qui s’entretueraient pour m’offrir cette robe, même s’ils reculent un peu devant mes dépenses. Après, je te préviens, ils en veulent pour leur argent.
Katy
— Chéri, j’ai assez de fans qui s’entretueraient pour m’offrir cette robe, même s’ils reculent un peu devant mes dépenses. Après, je te préviens, ils en veulent pour leur argent.
Marie
— Je te rejoins chez Miss Pinky qui jouxte la boutique de confection d’un styliste italien qui ne dédaigne pas le prêt-à-porter et qui vend ses services aux créateurs en mal d’idées.
Betty
— L’une de mes filles, Claire, est intraitable, c’est difficile de l’habiller, elle refuse d’acheter tout vêtement fabriqué dans le monde où les travailleurs sont exploités...
Chantal
— Oui, je te comprends fort bien, tu te sentiras minable le jour où tu seras filmée, c’est comme de changer l’étiquette où est mentionné le prix d’un chemisier avant de passer à la caisse...
— Lorsque je ne me concentre pas sur mes études, je fais les magasins ! Mon fiancé, ce radin, ça l’énerve même que je le lui propose, car il sait d’avance qu’il se sentira obligé de payer et de porter les sacs.Abby
— J’ai envie de me détendre dans les rues bordées de mimosas, de m’acheter des fringues, que les prix soient exorbitants, je m’en tamponne le coquillard !
Babeth
— Rends-toi compte, je n’ai plus à me soucier d’aller aux toilettes lorsque je vais faire les magasins ! Ce progrès vient d’avoir tout compris. Il n’y a qu’une liberté : c’est d’avoir de l’argent plein son sac à main, le reste c’est du caramel mou !
Bénédicte
Bénédicte
— Dis, si tu veux faire du shopping avec moi, il faudrait que tu mendies auprès de ton mec un peu de fric pour que nous puissions finir la soirée en nous torchant à la Ginger beer. Il faut que je sois un peu pétée si je ne veux pas dormir seule cette nuit.
Cassandra
Cassandra
— Mon programme de la matinée est le même que celui d’hier, c’est de faire les magasins en prenant mon temps et de déjeuner dans une auberge douillette où je pourrais oublier pour un temps les corvées qui m’attendent.
Françoise
DamienneFrançoise
— Je suis si câline que tu ne peux refuser de me suivre partout en ville, ça regorge de trésors en vogue. Et si ton chéquier a besoin de réconfort, je serai toujours là pour toi !
— Viens avec moi à Stockholm. Rien ne nous oblige à tout acheter mais tu risques d’être tentée, car les produits cool ne manquent pas. Ça va de l’art d’avant-garde, à l’anti-moustique bio, en passant par le cornichon géant.
Darina
Isabelle
— Dans le contexte actuel de crise, j’ai une volonté de revenir aux fondamentaux, en consommant des produits neufs et de qualité indiscutable. C’est plutôt positif en vertu de l’irraisonnable qui est la seule logique des femmes.
— Sans forcément favoriser les grandes enseignes, nous pourrions éviter les contrefaçons en nous rabattant sur les boutiques reconnues dont les prix onéreux réduisent le risque, au lavage, de tomber sur du bas de gamme.
Eddie
Eddie
— Il paraît qu’à Union Square, à San Francisco, c’est l’endroit idéal pour faire les magasins. Tu peux te renseigner sur Internet ? Nous pourrions envisager d’y faire un tour ce week-end car le dimanche les commerces ne ferment pas.
Edma
— Tu tombes mal ! Je suis trop fatiguée mais touchée que tu aies pensé à moi ! Courir les boutiques me serait difficile, je n’ai pas les idées claires. Mon travail de nuit ne m’a toujours pas habituée à dormir le jour.
Fabienne
Fabienne
— J’informe mon mari que je m’éclipse pour aller faire les magasins et je te rejoins dans la rue qui borde le parc. Je serais au moins certaine de ne pas le croiser au cas où il chercherait à réduire le budget de mes dépenses vestimentaires.
Gaby
— Faire travailler le commerce parisien est un tel plaisir, vu le nombre important de grandes marques, que je n’achète que des articles de luxe sans me tourner vers des produits issus de la grande distribution.
Hélène
— Ta nouvelle carte de crédit qui te sert à acheter ces parfums de luxe, ça me rappelle les photos récentes d’Al Pacino prises à Los Angeles alors qu'il était en train de faire les magasins avec ses enfants.
Irina
— Je te retrouve à l’Odéon après m’être habillée autrement. Il me plaît de faire du shopping en changeant de look pour que je sois bien dans ma peau. J’en ai pour une heure.
Jade
— Tu savais que Michelle Obama visite les musées avant d'aller faire les boutiques ? Peut-elle se permettre d’acheter un Rembrandt quand elle se rend au Louvre ?
Karine
— C’est promis ! Je viens faire les boutiques avec toi mais ne te faufile plus dans la foule en égarant ton chapeau ou ton foulard ! Je ne veux plus t’entendre criser pour trois fois rien.
Lamia
— Je n’ai pas un instant pour courir les boutiques à la recherche d’une garde-robe idéale ! Evite Katy qui ne rate pas une occasion de se faire acheter des fringues par les autres nanas.
Madeline
— Je te rejoins seulement si tu fais aussi tes courses dans les petites boutiques de lingerie ? Mon mec a besoin d’être regaillardi. Il mérite que j’y consacre un peu de temps. Ce sera une surprise.
— Tu es sûre de ne pas venir aux Champs-Elysées ? Je suis seule à Paris et ce n’est pas toujours drôle de faire les boutiques sans ma meilleure amie qui a un goût aussi sûr que le tien.
Océane
Océane
— Si je prends le taxi à l’aller et au retour pour faire du shopping, mon patron ne me rembourse rien et il ne me reverse pas le montant des achats dispendieux que je fais pour sa maîtresse.
Pascale
— J’ai déjà fait mes achats sur Internet mais je te rejoindrai parce que je suis curieuse de comparer le prix des nuisettes en soie et sans manches qui s’arrêtent en haut des cuisses.
Patty
Patty
— Tu sais, dans mon téléphone, il y a tout ce qui peut être utile à mémoriser, comme des listes de courses, de jardinage, de couture ou pour les travaux domestiques. Il est inutile de me téléphoner sans cesse pour me rappeler à l’ordre !
Rachel
— Tes listes de courses sont si longues qu’elles en disent long sur ton compte et sur ton style de vie. Ne me demande plus de faire tes courses, j’y ai passé la journée au lieu de faire la farniente en mangeant des sucreries.
Sabine
Sabine
— Fini la liste des courses sur papier qui se perdent. Direction le quartier Latin pour découvrir les tentes conçues pour un voyage d’aventure. Suivent-elles la mode des bourlingueurs des années 80, version kaki qui donne fière allure ?
— Ecoute-moi ! Fais une liste avant de partir. Je t’assure que cela t’aidera à planifier ta visite à l’épicerie et d’avoir chez toi tous les ingrédients nécessaires sous la main. Tu vois, je ne t’incite pas à trop dépenser ni à acheter impulsivement.
Sarah
— Zut, que je suis nouille ! J’ai oublié d’acheter le logiciel qui permet de préparer mes listes de courses et de les tenir à jour pendant que je suis dans les magasins. Le frigo sera mécontent de ne pas obtenir tout ce qu’il veut !
Sarah
— Zut, que je suis nouille ! J’ai oublié d’acheter le logiciel qui permet de préparer mes listes de courses et de les tenir à jour pendant que je suis dans les magasins. Le frigo sera mécontent de ne pas obtenir tout ce qu’il veut !